Les mains des « élus de Dieu » (à propos de Raoul Wallenberg et Guennadi Aïgui), par Nicolas Relvas

Merci à Nicolas Relvas, qui fut un des premiers à recevoir Le Dernier Départ et qui a publié ce billet dans lequel il écrit:

« Le dernier départ est comme le cri ou le rire d’un nourrisson, un long poème de l’enfance qui ne se termine jamais, surtout pour les poètes et les artistes. »

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